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Qui vient au cabinet ?

Je reçois en individuel et/ou en famille enfants, adolescents et adultes.
Je considère que l’entourage familiale est une partie importante du soin psychique. Si cela nous paraît pertinent nous pouvons inviter certains membres de votre famille à venir en séance.

Comment venir au cabinet ?

A pieds, en trottinette, en vélo ou en métro (c’est écolo), en voiture ou en moto…
Cliquez ICI pour l’emplacement exact et les infos TCL.


Pourquoi venir au cabinet ?

Je reçois dans mon cabinet des personnes souffrant de phobies, d’obsessions, de dépression, de manies, de crises d’angoisses, d’addictions (drogues/alcool/jeu/sexe), de traumatismes sexuels (abus sexuel/viol), de problèmes de confiance en soi, de deuils difficiles à traverser, de troubles sexuels et/ou identitaires, de troubles alimentaires (anorexie/boulimie), de bipolarité, de troubles du comportements, de troubles de l’humeur
J’accompagne également des patients relevant de pathologies classiques (névroses, états-limites…), de même que d’autres se sentant démunies face aux vicissitudes de la vie (deuil, séparation, maladie, chômage…), sources de souffrances, de questionnements, d’angoisses.
Le but n’est pas de changer vos expériences, celles-ci sont révolues. En revanche il est possible de changer votre rapport à celles-ci pour pouvoir progressivement vous en libérer. Ceci passe par un voyage dans vos mondes internes reliés à vos sentiments, vos émotions, vos sensations corporelles.
On peut se sentir désemparé(e), impuissant(e) à affronter seul(e) cette crise, ces mal-êtres qui nous dépassent : tout le monde peut souffrir et voir un « psy » sans être « fou ».
Ce que je vous invite à mettre au travail au sein de notre rencontre : une reliance à vous même, à vos sentiments, vos émotions, vos pensées.


Comment se déroule une séance ?

L’essentiel de mon travail est basé sur une approche corporelle.
Notre première rencontre se fait systématiquement assis sur des fauteuils: l’objectif est de faire connaissance, d’identifier votre demande et de déterminer le dispositif le mieux adapté pour vous aider: par la parole ou par un travail corporel.

Mise au point par le Dr John UPLEDGER il y a plusieurs dizaines d’années, le travail sur l’axe cranio-sacré et la libération somato-émotionnelle qu’il autorise, permet d’aborder des mémoires conscientes et inconscientes de la vie périnatale (vie fœtale, accouchement…), de l’enfance, de l’adolescence et de la vie adulte.

Une des thématiques centrales de la psychologie clinique est la question de l’appropriation subjective des événements : comment faire sien une expérience ? Comment construire du ‘Moi’ au gré d’expériences qui appartiennent au principe de déplaisir ?
 
Freud évoquait la « faiblesse de la synthèse » comme impossibilité pour la psyché d’intégrer à la subjectivité l’expérience vécue. « Faiblesse » qui conduit irrémédiablement aux retours intempestifs de ces souffrances « narcissiques identitaires » (Roussillon) dans la vie quotidienne où elles viennent se rejouer, brutes, dans une dialectique interne, dans des interrelations, créant de la sorte des « compulsions de répétitions » pour la psyché qui tente désespérément de les intégrer… tout en étant dépassée tant qu’une certaine détoxificationmise en sens, ne s’est pas établie dans un cadre relationnel sécure, bienveillant.
 
Après avoir fait un bref point assis face à face, vous êtes allongé habillé sur la table de soins. La séance débute avec un travail sur l’axe cranio-sacré, puis évolue naturellement en fonction de certaines tensions corporelles perceptibles au niveau des fascias, de blocages dans des méridiens d’acupuncture et centres énergétiques.

Le principe est d’aller rencontrer, pour transformer, ces tensions porteuses de sens, de mémoires et d’émotions.

L’immense avantage de cette approche corporelle est la possibilité d’accéder à ces espaces premiers, à ces processus primaires de la psyché, où résident ces ‘nœuds émotionnels’.

En tant que psychologue clinicien j’adhère au code de déontologie des psychologues.


Combien de temps va-t-il falloir venir ?

Aussi longtemps que vous en ressentez le besoin.

Des patients ne viennent qu’une fois, d’autres toutes les semaines depuis des années…

Cela dépend de vous, de votre demande, de l’investissement personnel, émotif, financier… que vous souhaitez consacrer à votre santé psychique. Le rythme moyen d’un travail en face à face est d’un rdv par semaine. Dans le cadre d’un travail corporel les rdv sont généralement plus espacés.

Le rythme de nos rencontres peut évidemment évoluer au cours du temps: le soin est ‘taillé’ sur la mesure de notre rencontre et de son évolution.

Il est impossible de prédire combien de temps dure une thérapie : vous êtes le meilleur juge de l’avancement de votre travail thérapeutique.


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